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Article presse WAR
16/05/2009 17:42
Dimanche 13 Janvier 2008
Mardi dernier, le premier responsable de la commune de Rouiba s’est déplacé au stade pour s’entretenir avec les joueurs et le staff technique. L’entretien a porté sur la disponibilité de l’APC à apporter le soutien indéfectible dont le club a besoin. Les joueurs, le coach et les dirigeants présents sur les lieux, ont écouté avec intérêt les propos du président de l’APC qui a tenté d’être convaincant eu égard à la grogne des joueurs qui commencent réellement à s’inquiéter pour leur dû.
Réaction immédiate des joueurs Même s’ils ont apprécié le geste du premier magistrat de la commune qui a pris de son temps pour venir s’enquérir et les rassurer un tant soit peu quant à leur situation financière, les joueurs demeurent quand même sceptiques faisant de cette visite une manière d’étouffer une grogne qui commence à voir le jour. «Nous avons comme l’impression de jouer gratuitement en dépit des efforts des dirigeants qui font de leur mieux pour qu’on tienne le coup en nous versant des primes de matches, mais cela reste insignifiant par rapport aux dûs qu’ils n’ont pas honorés. Nous osons espérer que le président de l’APC n’est pas venu pour verser dans le discours démagogique pour nous faire taire, mais qu’il œuvrera dans les jours à venir pour qu’on soit payés. Si les choses demeurent en suspens, nous ne pensons pas pouvoir avoir le moral qu’il faut pour tenir le coup longtemps. Ce sera néfaste pour le club qui a quand même réalisé de très belles choses durant cette phase aller. Nous souhaitons que les autorités débloquent une subvention dans les plus brefs délais pour que nous puissions nous concentrer sur notre travail et rester sur la courbe ascendante de la phase aller», nous dira un joueur. A. Ahnia
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CREATION DU CLUB DE FOOT-BALL MUSULMAN A ROUIBA
13/05/2009 19:14
W . A. R
WIDAD ATHLETIIQUE ROUIBA
La J.S .M.R de ROUIBA était créer en 1946/1947 , mais les autorités locales françaises ont refuse en prétendant qu il n y avait pas assez de populations. Cette idée de création de mr Amar BEN BOUTELDJA suite a un match de football entre L’OR et l’USMA qui cette dernière a gagne. Lors d’une réception organisée par Mr Amrane MEGZINE, dans son café sis rue REZIG AHMED, il a était demandé aux Dirigeants de l’USMA de porté aide à la création du JSMR ROUIBA.
Création du bureau Président : AISSA STANMBOULI Vice président : AMARANE MEGZINE Secrétaire : MOHAMED DRIF Adjoints : LOUNES OURAD SAID ALLIANE Trésorier : ALI HOCIANE Infirmier soigneur : AHMED KHALFI Assesseurs : ABDELKADER BENNAFLA ABDERAHMANE DJEMAI MOHAMED BELARBI AHMED KARALI MESSAOUD BOUDERBA BOUALEM GUERBOUCHE MECHRI TARIKET SLIMANE TADRIST AMAR KHALFI L’equipe (1946 – 1947): Entraineur : AHMED TACINE Joueurs: HAMID CHEBCHEB,ABDELKADER MIMOUNI,AISSA ABBAS,HMIDET OURAD,BRAHIM KHALFI,BOUALEM BOUDA, MOUHOUCH BOURAS,MOHAMED BOUCHEKIA,LARBI SIAB,MOHAMED CHEBCHEB,ABDELKADER ZIRIFI,MECHRI HANTOUT, SAID MABROUKI,RABEH MELZI,MOHAMED MESBAH,ALI TADRIST,RAMDANE MECHTEK dit FRICHKA,HSEN CHABRI : (il était joueur a l’USMA – HAMEM LIF TUNISIE – MONACO- L’équipe du FLN 1958)
NOTA : AMAR BEN BOUTELDJA ne faisait pas parti de l’équipe, suite à a la demande des dirigeants, pour ne pas atteindre à son travail et son domicile à l’intérieur du stade. Cette équipe a joue uniquement des matchs amicaux, la couleur du premier maillot était Jaune avec col vert. La création officielle de la JSMR était en 1948/1949 au nom W.A.R par le vœux du RASA (le décret de la league) avec le même staff jusqu’à 1956. (maillot rouge et noir lors de la période 1953/1956 - Maillot officiel orange et vert jusqu’à nos jours.) D’autres joueurs ont rejoint l’équipe, qui sont : MOHAMED MEDRAR,RABEH LAOUALI,ABDESSLEM BELARBI,BOUALEM MEDAHI,ALI SASSI,ABDELKADER SASSA OMAR DRIBINE,SLIMANE AMREOUI,MADANI BOUDA,MOHAMED CHATOUR,SAID KHALFI,SAID TABLI, MUSTAPHA MELZI,ABDELKADER TOUAMINE,MUSTAPHA KARALI,AMAR OURADI,RABEH ANSSEUR,MOHAMED GUACIOUI RACHID CHERFAOUI,BOUALEM ZIRIFI,MUSTAPHA HACIENE,MOHAMED HACIENE,ALI TAHIR,ALI BANI MOHAMED RAOURAOUA,ALI AOUIDET,RABEH YAKER,HAMID CHEMAI,BOUALEM HAROUN,MOUSSA DAFI, ALI GUACEM,DJAFER CHEBCHEB,RACHID CHABRI
KADDOUR HAMLI de Lakhdaria "Palestro" GACI ARRAR de Thenia "Minerville" GUERBI de Annaba "Bone" AHMED GUACEM de la USMA d’alger
Les différents entraîneurs qui ont drivé les équipes du W.A.R AHMED TACINE ALLIOUET AMRAOUI HAMID CHEBCHEB
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Zone Industrielle de Rouiba
13/05/2009 18:40
Rassemblement des cadres syndicaux devant l’unité Magi Par :Madjid T, Liberté, 25 février 2009
Interrogé sur cette situation, le directeur général de la société a indiqué que le tribunal vient de rendre (hier matin) une décision en référé qui conclut à l’illégalité de cet arrêt de travail.
Les syndicalistes de la zone industrielle de Rouiba ont lancé, avant-hier, un ultimatum de deux jours aux responsables concernés leur demandant de régler les problèmes des travailleurs de l’entreprise Matériel agricole et industriel (Magi) en grève depuis presque une semaine, “sinon nous allons ramener tous les travailleurs de la zone industrielle pour se rassembler devant le siège de cette entreprise”, a martelé le secrétaire général de l’union locale de Rouiba, M. Messaoudi. S’exprimant devant les 200 travailleurs en grève et de nombreux cadres syndicaux de la zone industrielle présents à ce regroupement, M. Messaoudi a imputé cette situation de pourrissement aux responsables de l’entreprise Magi qui, selon lui, ne cesse de provoquer les travailleurs. “Sinon comment expliquer que les dirigeants de cette entreprise choisissent le moment précis de ce rassemblement pour afficher la décision de justice relative à la grève”, a affirmé le syndicaliste qui dit respecter toute décision émanant de la justice algérienne mais s’interroge sur le moment choisi pour informer les travailleurs de cette décision. “Non seulement c’est du mépris, voire une insulte envers tous les travailleurs et les cadres syndicaux ici présents, mais c’est une forme d’incitation à sortir dans la rue”, indique M. Messaoudi qui met en garde les syndicalistes contre le piège qu’on veut tendre aux travailleurs. Il n’exclut pas une action de grande envergure et dans l’immédiat, “comme celle de 2006”, dit-il. “Et celui qui veut l’anarchie dans la zone industrielle, il prendra ses responsabilités”, précise l’orateur, qui révèle avoir reçu des directives de Sidi-Saïd pour ne rien faire durant cette période. Il se demande si les gestionnaires se soucient de la stabilité et de la paix sociales. “Au contraire, ils nous provoquent”, dit-il. Avant d’ajouter que “les syndicalistes ont fait beaucoup de concessions jusqu’ici pour calmer les esprits mais nous ne pouvons rester les bras croisés devant ces agressions répétées contre les travailleurs”. M. Messaoudi a tenu à rappeler aux responsables de Magi que sans la mobilisation des travailleurs, en 2005 et 2006, l’entreprise Magi ne serait plus une entreprise publique et elle aurait été aux mains d’un privé. “C’est le fond du problème car, dit-il, on n’a jamais pardonné aux travailleurs de Magi d’avoir refusé le bradage de leur unité dans des conditions contestables. Et c’est pour ça qu’on sort des tiroirs, quatre ans après, cette affaire de grève illégale”, explique le secrétaire général de l’union locale, qui a, encore une fois, fustigé certains cadres dirigeants de la zone industrielle qui viennent de gonfler, selon lui, leurs salaires au détriment de ceux des travailleurs. Il cite l’exemple des cadres de plusieurs entreprises qui viennent doubler leurs indemnités avec un rappel rétroactif depuis janvier 2008, alors que leurs entreprises vivent les pires difficultés. “Leur prime de panier est égale au SNMG d’un travailleur”, ajoute-t-il. De leur côté, les syndicalistes de Magi ont tenu à dénoncer “les mesures de harcèlement dont ils continuent de faire l’objet”, comme ils ont réitéré leur appel pour le retrait de toutes les plaintes émises à leur encontre. Ils ont également exigé la satisfaction de leur plate-forme de revendications, notamment la titularisation des travailleurs contractuels ainsi que l’augmentation des salaires. Comme ils ont évoqué la situation de leur entreprise qui, selon eux, traverse une situation difficile pour des problèmes de gestion. Interrogé sur cette situation, le directeur général de Magi nous a indiqué que le tribunal vient de rendre (hier matin NDLR) une décision en référé qui conclut à l’illégalité de cet arrêt de travail. À propos des convocations reçues par les syndicalistes émanant des tribunaux, M. Amichi affirme que cela relève des juridictions compétentes et cela concerne la grève illégale de 2006 où il a été obligé de déposer plainte par devoir mais aussi pour “défendre une entreprise publique”. Il a ajouté que les syndicalistes s’étaient engagés, le 19/07/2006, en présence d’un inspecteur du travail, “d’exprimer des regrets pour les événements de 2006”, mais ils refusent de tenir leur engagement, dit-il. Le directeur général de Magi a indiqué que l’entreprise paye ses salaires le plus normalement du monde et ses travailleurs perçoivent toutes sortes d’indemnités, y compris la prime du mouton. “En dépit des difficultés du marché, on arrive tout de même à faire fonctionner nos ateliers et commercialiser nos produits”, indique M. Amichi, qui précise que plus de 112 produits sont répertoriés au niveau de l’entreprise qui a été contrainte de se mettre au diapason et de convertir certaines de ses activités pour ne pas mourir, ajoute-t-il.
M. T.
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