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mon rouiba

VIP-Blog de rouiba
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  • Créé le : 19/01/2009 18:55
    Modifié : 11/12/2017 08:22

    Garçon (46 ans)
    Origine : Rouiba
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    Zone Industrielle de Rouiba

    13/05/2009 18:40

    Zone Industrielle de Rouiba


    Rassemblement des cadres syndicaux devant l’unité Magi
    Par :Madjid T, Liberté, 25 février 2009

    Interrogé sur cette situation, le directeur général de la société a indiqué que le tribunal vient de rendre (hier matin) une décision en référé qui conclut à l’illégalité de cet arrêt de travail.

    Les syndicalistes de la zone industrielle de Rouiba ont lancé, avant-hier, un ultimatum de deux jours aux responsables concernés leur demandant de régler les problèmes des travailleurs de l’entreprise Matériel agricole et industriel (Magi) en grève depuis presque une semaine, “sinon nous allons ramener tous les travailleurs de la zone industrielle pour se rassembler devant le siège de cette entreprise”, a martelé le secrétaire général de l’union locale de Rouiba, M. Messaoudi. S’exprimant devant les 200 travailleurs en grève et de nombreux cadres syndicaux de la zone industrielle présents à ce regroupement, M. Messaoudi a imputé cette situation de pourrissement aux responsables de l’entreprise Magi qui, selon lui, ne cesse de provoquer les travailleurs. “Sinon comment expliquer que les dirigeants de cette entreprise choisissent le moment précis de ce rassemblement pour afficher la décision de justice relative à la grève”, a affirmé le syndicaliste qui dit respecter toute décision émanant de la justice algérienne mais s’interroge sur le moment choisi pour informer les travailleurs de cette décision. “Non seulement c’est du mépris, voire une insulte envers tous les travailleurs et les cadres syndicaux ici présents, mais c’est une forme d’incitation à sortir dans la rue”, indique M. Messaoudi qui met en garde les syndicalistes contre le piège qu’on veut tendre aux travailleurs. Il n’exclut pas une action de grande envergure et dans l’immédiat, “comme celle de 2006”, dit-il. “Et celui qui veut l’anarchie dans la zone industrielle, il prendra ses responsabilités”, précise l’orateur, qui révèle avoir reçu des directives de Sidi-Saïd pour ne rien faire durant cette période. Il se demande si les gestionnaires se soucient de la stabilité et de la paix sociales. “Au contraire, ils nous provoquent”, dit-il. Avant d’ajouter que “les syndicalistes ont fait beaucoup de concessions jusqu’ici pour calmer les esprits mais nous ne pouvons rester les bras croisés devant ces agressions répétées contre les travailleurs”. M. Messaoudi a tenu à rappeler aux responsables de Magi que sans la mobilisation des travailleurs, en 2005 et 2006, l’entreprise Magi ne serait plus une entreprise publique et elle aurait été aux mains d’un privé. “C’est le fond du problème car, dit-il, on n’a jamais pardonné aux travailleurs de Magi d’avoir refusé le bradage de leur unité dans des conditions contestables. Et c’est pour ça qu’on sort des tiroirs, quatre ans après, cette affaire de grève illégale”, explique le secrétaire général de l’union locale, qui a, encore une fois, fustigé certains cadres dirigeants de la zone industrielle qui viennent de gonfler, selon lui, leurs salaires au détriment de ceux des travailleurs. Il cite l’exemple des cadres de plusieurs entreprises qui viennent doubler leurs indemnités avec un rappel rétroactif depuis janvier 2008, alors que leurs entreprises vivent les pires difficultés. “Leur prime de panier est égale au SNMG d’un travailleur”, ajoute-t-il. De leur côté, les syndicalistes de Magi ont tenu à dénoncer “les mesures de harcèlement dont ils continuent de faire l’objet”, comme ils ont réitéré leur appel pour le retrait de toutes les plaintes émises à leur encontre. Ils ont également exigé la satisfaction de leur plate-forme de revendications, notamment la titularisation des travailleurs contractuels ainsi que l’augmentation des salaires.
    Comme ils ont évoqué la situation de leur entreprise qui, selon eux, traverse une situation difficile pour des problèmes de gestion. Interrogé sur cette situation, le directeur général de Magi nous a indiqué que le tribunal vient de rendre (hier matin NDLR) une décision en référé qui conclut à l’illégalité de cet arrêt de travail. À propos des convocations reçues par les syndicalistes émanant des tribunaux, M. Amichi affirme que cela relève des juridictions compétentes et cela concerne la grève illégale de 2006 où il a été obligé de déposer plainte par devoir mais aussi pour “défendre une entreprise publique”.
    Il a ajouté que les syndicalistes s’étaient engagés, le 19/07/2006, en présence d’un inspecteur du travail, “d’exprimer des regrets pour les événements de 2006”, mais ils refusent de tenir leur engagement, dit-il. Le directeur général de Magi a indiqué que l’entreprise paye ses salaires le plus normalement du monde et ses travailleurs perçoivent toutes sortes d’indemnités, y compris la prime du mouton. “En dépit des difficultés du marché, on arrive tout de même à faire fonctionner nos ateliers et commercialiser nos produits”, indique M. Amichi, qui précise que plus de 112 produits sont répertoriés au niveau de l’entreprise qui a été contrainte de se mettre au diapason et de convertir certaines de ses activités pour ne pas mourir, ajoute-t-il.

    M. T.






    Histoire de ma ville

    13/05/2009 18:13

    Histoire de ma ville


    Histoire de la commune 


     L'Histoire de Rouïba est intensément liée à la conquête de l'Algérie et, à la mise en valeur de la plaine de la Mitidja.
    Le 11 août 1853, sous Napoléon III, le Conseil du Gouvernement se pencha sur le projet de fondation d'un centre, sur la route d'Alger-Dellys, à l'embranchement du chemin d'Aïn-Taya, où le Génie militaire venait de mettre en service un puits artésien.
    Dès 1845, sur le futur territoire de la commune de Rouïba, quelques concessions de 100 à 150 ha avaient été offertes ou vendues à des Européens.
    En 1852, huit fermes existaient.
    Le 30 septembre 1853 est publié le décret suivant :
    - Article I : Il est créé dans l'arrondissement d'Alger, sur la route Alger-Dellys, un centre de population de 22 fermes, qui prendra le nom de Rouïba.
    - Article Il : Le territoire agricole à affecter à ce nouveau centre, conformément au plan ci-annexé, est de 585 ha 85 a 20 ca.
    Fait au Palais des Tuileries, le 30 septembre 1853.Signé NAPOLÉON

    Origine du nom
    Si l'origine de ce nom ne laisse aucun doute, sa traduction, par contre, ne fait pas l'unanimité
    Ce pourrait être une déformation de " petite forêt " ou de " la descente » ou " petit ruisseau ", ou encore " broussaille ".

    Nous avons une preuve formelle à ce sujet, c'est le reportage d'un journaliste du journal 1' " AKBAR " qui, en 1853, s'était rendu sur les lieux et déclarait :
    " Dans cet immense désert, je n'ai rencontré que deux habitations dans un océan de broussailles "." A cet espèced'abandon, j'ajoute un sentiment de tristesse et solitude angoissant."Aussi, ce ne fut que début mars 1854, qu'eut lieu l'adjudication de 22 concessions qui furent remises officiellement à leurs propriétaires, à la fin de ce mois.

    Familles de pionniers
    Qui furent ces 22 familles de pionniers qui, à la sueur de leur front, au péril de leur vie, guettés autant par la malaria, le paludisme et le choléra, que par les pillards, fondèrent Rouïba?
    Pour la grande majorité d'entre eux, ils étaient originaires des Iles Baléares, plus précisément de Mahon, et avaient été retenus suite aux très bons résultats obtenus par leurs compatriotes de Fort-del'Eau, qui, dès 1849, s'étaient lancés dans la culture maraîchère.

    Bref Historique
    1882-1905: Ecole Pratique d'Agriculture à ROUIBA:

    L'Enseignement agricole en Algérie n'a commencé à prendre essor qu'en 1881 avec la création de l'école pratique d'Agriculture de Rouiba qui est l'ancêtre de L'Institut Agricole d’Algérie qui deviendra L'Institut National Supérieur Agronomique d'Alger .
    L'école pratique d'Agriculture de Rouiba était située au carrefour formé par les routes Boufarik . Dar-El-Beida . Boudouaou (ex. L'Alma) d'une part, et Rouiba L'Arbatach (ex. Fondouk) d'une autre part.

    1905-1920: Ecole D'Agriculture Algérienne:

    Le Directeur de L'école pratique d'Agriculture de Rouiba ayant manifesté l'intention de cesser ses fonctions , Le Dr. L. Trabut et R. Marrés seront à l'origine de la création , en 1905 , de L'école d'Agriculture Algérienne à El-Harrach (ex. Maison carrée) sur le plateau de Hassan Badi (ex.Belfort).
    Les débuts de l’école d’agriculture Algérienne ont été modestes
    En 1914, lors de la première guerre mondiale, l’école a du fermer ses portes par manque d’enseignants.

    Durant la période 1905-1914, cette école a disposé son enseignement à 120 élèves qui étaient destinés principalement au développement de l’agriculture coloniale.

    A sa réouverture en 1919, on assiste à une ère de prospérité de l’école d’Agriculture Algérienne par réorganisation de ses enseignants , l’élévation du niveau du concours d’entrée, la création de nouvelles chaires qui n’existaient pas auparavant, l’agrandissement des bâtiments d’internat et la construction des laboratoires.

    1920-1946 : L’institut agricole d’Algérie :

    A l’achèvement du programme de développement de l’école d’agriculture algérienne, l’établissement devient par arrêté du gouverneur général du 28 février 1921, l’Institut Agricole d’Algérie.
    Le niveau de son enseignement permet de délivrer un diplôme d’ingénieur de l’Institut Agricole d’Algérie il est à rappeler que par arrêté ministériel du 14 Avril 1960, Le titre d’ingénieur agricole a été attribué aux titulaires du diplôme d’ingénieur de l’institut Agricole d’Algérie.

    Le 14 Novembre 1945, L’institut Agricole d’Algérie reçoit avec ses étudiants en cours d’études en [(1942]]. Ceux recrutés à la suite de divers concours d’entrée aux grandes écoles.

    1946-1961 : Ecole Nationale d’Agriculture :

    A la fin de la deuxième guerre mondiale, la loi du 22 mai 1946 assimile l’institut agricole aux écoles nationales d’agriculture françaises en sanctionnant les études par l’attribution du diplôme d’ingénieur agricole.
    Le programme de construction et d’aménagement de l’école a été poursuivi jusqu’en 1961. La surface couverte a au moins doublé par rapport à 1945. Les bâtiments disposés tout d’abord de part et d’autre de l’allée centrale, ont peu à peu gagné des voies latérales. Les domaines de l’écoles s’étendaient sur 212 hectares dont prés de 25 étaient occupés par les installations centrales de l’école proprement dite et par les parcelles affectées aux différents laboratoires(le centre de recherches Agronomiques d’Algérie avec le laboratoire d’Agriculture avaient leurs terrains).

    En 1961, L’école Nationale d’agriculture devient par le décret du 20 juin 1961 l’Ecole Nationale Supérieure Agronomique d’Alger .
    Appelée à délivrer le diplôme d’ingénieur agronome .

    A la fin de l’année universitaire 1960-1961, les étudiants de l’Ecole Nationale supérieure Agronomique ont été transférés vers les "Grandes Ecoles" françaises d’agriculture, la plupart des enseignants de l’école ont rejoint les établissements français d’enseignement et de recherche.

    Commune de plein exercise
    Rouïba était inclus dans l'ancienne commune de La Rassauta qui comprenait Fort-del'Eau son chef-lieu, ainsi que les hameaux d'Aïn-Taya, Matifou et Aïn-Beida (Suffren).
    Le 22 août 1861, Rouïba fut érigé en commune de plein exercice.
    Petit à petit, le village s'équipe.
    En 1869 fut bâtie la mairie, et en 1876, l'église dont la construction a été entièrement financée par les familles européennes

    En 1906, ce fût le marché couvert, servant aussi de salle des fêtes et de sport.
    En 1906 fut érigée la poste qui, jusqu'alors, se trouvait à l'intérieur de la mairie.


    Dès 1887, Rouïba eut son école communale, avec 3 classes.
    En 1923 fut inauguré le Monument aux morts financé par une souscription publique. Rouïba, comme bien d'autres communes d'Algérie, avait payé un lourd tribut lors de la guerre 14-18, 105 de ses enfants donnèrent leur vie à la patrie.

    Les Associations
    Dès 1930, un jardin publique d'une superficie de 10 ha, allait embellir le petit village.
    Rouïba eut sa première équipe de football en 1918, L'Etoile Sportive de Rouïba qui, en 1920, prit le nom de " Rouïba Sports" Une section de boxe, gymnastique, un groupe théâtral, "Les Gaietés Rouïbéennes" et une fanfare, vinrent compléter les activités de cette association.
    Parallèlement, une société de musique : " Les Amis de Rouïba ", un club cycliste,: " La Roue d'Or Rouïbéenne ", une association de boule, " L'Amicale Boule Rouïbéenne ", tout ceci avait vu le jour à la même époque.

     






    Fabrique de Garum

    06/05/2009 18:31

    Fabrique de Garum


    Philippe.. voila ce que j'ai trouvé sur le net concernant le Garum qu'on a vu à TIPAZA

     

     Le garum, ou liquamen (qui veut dire « jus » ou « sauce » en latin) était une sauce, le principal condiment utilisé à Rome dès la période étrusque et en Grèce antique. Il s'agissait de poisson ayant fermenté longtemps dans une forte quantité de sel, afin d'éviter tout pourrissement. Il entrait dans la composition de nombreux plats, notamment à cause de son fort goût salé.

    Le garum le plus réputé, dit garum des alliés (garum sociorum), était fabriqué en Bétique, sud de l'Espagne actuelle donc en Andalousie, à partir du thon rouge qui migre de l'Atlantique à la Méditerranée. Il s'en faisait une grande pêche, dont le produit était commercialisé salé. Le garum lui, était élaboré avec le sang, les œufs et le système digestif des poissons, mélangés à une grande quantité de sel (au moins 50 % du volume total). La présence de sel inhibant la décomposition naturelle, la macération se produisait probablement sous l'action des sucs digestifs du thon. Il ne s'agit donc pas d'une putréfaction mais presque !

      

    Des garums de moindre qualité, préparés directement à partir de la chair du thon, ou d'un autre poisson (comme le maquereau), étaient fabriqués dans tout le bassin méditerranéen. Tout ces garums étaient commercialisés dans des amphores spécifiques, dont la petite taille révèle la valeur élevée du contenu. On commercialisait également le résidu de qualité moindre nommé allec.

     

     

     






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