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VIP-Blog de rouiba
  • 68 articles publiés dans cette catégorie
  • 71 commentaires postés
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  • Créé le : 19/01/2009 18:55
    Modifié : 11/12/2017 08:22

    Garçon (46 ans)
    Origine : Rouiba
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    A mon ami

    18/05/2016 16:53

    A mon ami


    A mon ami Jean-Claude de France.

    Cher ami.

    Je vous ai répondu par E-Mail à plusieurs reprises mais je n'ai eu aucune réponse à ce jour.

    Prière de me répondre si'il vous plait.

     

    Amitiés

    Ali



    Commentaire de jean-claude (03/07/2016 11:21) :

    Mon cher Ali , cela fait plusieurs fois que je te réponds mais sans nouvelles. Y-a-t-il un problème. Amicalement Jean-Claude du Var


    Commentaire de jean-claude (03/07/2016 11:40) :

    Mon Cher Ali , si tu veux correspondre avec moi , envoies-moi directement un mail à l'adresse suivante : jcscarfogliere@free.fr Merci et ce serait avec plaisir de te lire





    Boughendja

    27/04/2016 20:10

    Boughendja


    Il arrivait parfois que l'ouverture de la saison des labours semailles soit retardée à cause de la sécheresse. Dans ce cas-là, des rites étaient alors célébrés. Ce sont les rites de rogations de la pluie. Célébrés d'ailleurs à chaque fois qu'il y avait sécheresse. Ces rites étaient répandus dans toute l'Afrique du nord avec différentes variantes d'est en ouest. Le plus célèbre d'entre eux est celui de : Boughendja, plus répondu dans la Mitidja connu aussi sous les noms de Taghondja, Ghondja, ou encore. L'appellation diffère selon les régions mais le rituel est pratiquement le même partout. L'origine du nom vient du mot berbère «Aghendja» qui désigne la cuillere à pot, la louche, «El-Gherraf». Dans le rite de Telghondja, la louche est transformée en poupée, elle est habillée, parée de bijoux et portée en procession par un cortège de femmes et d'enfants. Ils vont de maison en maison, parfois de village en village en chantant la chanson de Telghondja. La chanson varie d'une région à l'autre, chaque tribu, chaque village ayant la sienne propre. Mais l'idée y est partout la même : l'invocation de la pluie. (Celle du centre de l'Algérie) disait : Le petit-pois est assoiffé Arrose le ô "Maître des lumières" ! Les fèves ont fleuri puis se sont fanées Donne leur à boire ô notre Seigneur ! L'épi de blé a laissé retomber sa chevelure Ô mon Dieu de quoi vivrons nous Boughandja a mis un collier Que la goutte mouille un sanglier... La procession va en même temps faire une quête de denrées alimentaires au cours de son périple à travers les maisons et les familles. Ces dons serviront à la fin à la préparation d'un repas collectif, zerda ou waâda, dans le sanctuaire d'un saint patron de la région. Mais le but premier de cette quête est de faire participer tout le monde à l'invocation de la pluie et à l'offrande. Et devant chaque porte, le cortège récolte les denrées alimentaires, mais il est en retour aspergé d'eau. L'aspersion ainsi faite était supposée retomber en pluie. Le même rite de Telghondja était parfois remplacé par celui de Tislit n'Ounzar, la fiancée d'Anzar. Anzar étant dans la croyance berbère ancienne, le génie de la pluie auquel les habitants d'un village devaient offrir une jeune fille en mariage pour qu'il accepte de laisser tomber la pluie. Le rite de Tislit n'Ounzar ou simplement Anzar est répandu en Algérie, mais principalement en Kabylie. C'est le même principe que celui de Telghondja, sauf que la louche transformée en poupée pour le premier, est ici, pour le rite d'Anzar, remplacée par une jeune fille. Celle-ci est habillée, fardée et parée pour la circonstance. Elle marche au devant du cortège, les femmes et les enfants suivent et chantent pour faire tomber la pluie. Une autre variante de ce même rite existe aussi sous le nom de Yemma Aicha. Et là, ce n'est plus une jeune fille, mais plutôt une vieille dame, montée à rebours, à l'envers, sur un âne et qui devance le cortège de femmes et d'enfants. Et nous constatons à travers les différentes variantes de ces rituels que le principe en était le même à l'origine : invoquer la pluie et faire des offrandes aux génies ou aux esprits invisibles, afin qu'ils acceptent de laisser la pluie tomber. Sinon c'était la famine qui menaçait toute la région.




    Nostalgie

    27/04/2016 20:02

    Nostalgie


    Jeu de billes. L’origine du jeu de billes reste inconnue. La première apparition connue semble remonter à la Grèce antique où l’on pratiquait la « troppa » ; le but du jeu était de lancer un maximum de petits objets ronds dans un trou. Pareillement, les Romains jouaient à « l’orca », jeu où il fallait lancer des noix ou des noisettes dans un vase. Entre le Moyen Âge et la Renaissance, la bille, qui était jusqu’alors un objet naturel, devient un objet artisanal. Les billes sont faites en bois ou en métal, de forme grossièrement sphérique, elles sont alors appelées « gobilles ».Certains maîtres verriers vénitiens ont même fabriqué des billes de verre au milieu du 14ème siècle.Toutefois, malgré cette évolution progressive de la bille, ce n’est qu’au 15ème siècle que les jeux s’organisent et que les règles se mettent en place, de façon orale. Le 18ème siècle voit se développer un intérêt croissant pour les jeux et les jouets. Les billes s’arrondissent parfaitement. Les matériaux de fabrication, quant à eux, se multiplient. Au début du 20ème siècle, on trouvait des billes le plus souvent en terre peinte, mais parfois, aussi, en verre, en métal, en porcelaine, ou en agate. Les « cales », un peu plus grosses et le plus souvent en verre, valaient plusieurs billes. Il y avait, au début du siècle, de nombreuses façons de jouer aux billes. Le but était toujours de viser et toucher une cible afin de gagner un objet ( soldat en plomb ou en plastique ) ou d’autres billes. Les divers jeux portent des noms variés à l’infini : poursuite, tique, cercle,tique et pat, enclos... On jouait au milieu de la cour ou contre un mur suivant les règles choisies par les enfants. Ce jeu était extrêmement populaire et les poches des écoliers étaient constamment alourdies par des billes de toutes sortes, et, quand l’enfant était habile, par des « calots », billes de verre ou d’agate de très grosse taille.




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