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mon rouiba

VIP-Blog de rouiba
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  • Créé le : 19/01/2009 18:55
    Modifié : 11/12/2017 08:22

    Garçon (46 ans)
    Origine : Rouiba
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    Création de la Mairie

    30/05/2009 11:17



     La Mairie
    Le premier local faisant office de mairie, et de bureau de police fut installé en 1861 dans une partie du bâtiment abritant le café maure, arrêt des diligences situé avenue d'Alger. Cette maison qui fut la première construction du village avait été bâtie dans les années 1850 en torchis. En 1863 le bureau de poste y fut installé.
    Ce n'est qu'en 1869 que fut bâtie la mairie que nous avons tous connu. L'emplace­ment choisi, en plein centre du village, était à l'origine un marécage où pullulaient canards sauvages et autres gibiers d'eau. Pour bâtir le bâtiment communal, il fallut raser une ancienne écurie datant de la création du village. La construction devait aussi abriter la poste et le commissariat. Le commissariat, auquel on accédait par la porte de droite, devait conserver ses locaux jusqu'en 1962. La porte centrale donnait accès au secrétariat de la mairie ainsi qu'à la salle du conseil ; quant à celle de gauche c'était la poste.
    En 1906 avec la construction d'une nouvelle poste donnant sur la future place du monument, on en profita pour déménager le secrétariat de mairie dans les locaux laissés vacants et de consacrer toute la partie centrale à la salle du conseil. La salle du conseil sobrement décorée avec face à la porte d'accès une cheminée de marbre au dessus de laquelle se trouvait «la Marianne» entre 2 tentures tricolores, était multi fonctionnelle. C'est autour d'une longue table de chêne clair que se tenaient les délibéra­tions du conseil municipal. C'était aussi dans cette salle qu'étaient célébrés les mariages civils, que se tenait le bureau de vote du village et que parfois des expositions étaient réalisé.
    La mairie était bâtie en forme de L. Sa façade principale donnait sur la place de la République. Au centre une colonne supportait un buste symbolisant la République entouré d'une grille de fer forgé. En 1922 alors que la fête du village se déroulait en présence d'une nombreuse assistance, le buste de Marianne se détacha de son piédestal. Mademoiselle Marguerite Serra fut blessée. On découvrit rapidement la raison : une corde qui avait été fixée entre la Marianne et l'un des palmiers de la place servait à suspendre les fameuses marmites surprises de terre que l'on cassait à l'aide d'un bâton. Des enfants s'étaient suspendus à la corde et avaient fait basculer le buste. On s'empressa de faire disparaître les restes du monument. Quant au buste de Marianne, un bronze de 43 kilos, il fut installé dans la salle du conseil.
    Le deuxième corps du bâtiment donnant sur la cour avenue d'Aïn-Taya abrita les services techniques du village ainsi que le bureau des contributions jusqu'à la construc­tion des ateliers municipaux rue des écoles en 1919. Une partie de ces locaux fut convertie en logement de fonction.
    Le premier étage de la mairie abrita jusqu'en 1919 le comptoir d'escompte qui avait été créé par les propriétaires terriens de la commune et qui en assuraient eux-mêmes la gestion. A leur départ, le premier étage fut réaménagé. On y installa le secrétariat de mairie, les bureaux du maire ainsi que du secrétaire. Un logement de fonction réservé au secrétaire de mairie fut créé. L'ancien secrétariat du rez de chaussée, quant à lui, fut transformé en bureau d'aide sociale. C'est dans ces locaux, avant que ne soit construit le dispensaire, que se déroulaient les différentes campagnes de vaccination. Ces locaux servirent aussi de bureau de vote pour le deuxième collège.
    L'état civil fut de tous temps le problème le plus épineux qu'eurent à résoudre les différents secrétaires de mairie tout particulièrement avec la population musulmane qui omettait de déclarer naissance et décès. Si dès 1945, les allocations familiales réglè­rent la question des naissances et décès des enfants scolarisés, le problème resta entier pour les autres générations de la population musulmane jusqu'aux événements d'Al­gérie. En effet, l'obligation d'être muni d'une pièce d'identité à tous moments eut pour mérite de clarifier quelque peu la situation. Officiers aux affaires algériennes et gardes champêtres s'attelèrent à ce délicat problème. Certains individus ne connaissant pas leur date de naissance furent déclarés «nés présumés». D'autres savaient être nés «l'année du choléra» ou «l'année des sauterelles» ou encore «l'année de la venue du Président de la république en Algérie» et ainsi de suite. On fit la transcription! Certains ne connaissaient même pas leur nom de famille. Une formule fut consacrée : «S.N.P.» (Sans nom patronymique) suivi de leur prénom ainsi que du prénom du père, qui, dans bien des cas, étaient identiques. Il y eut de nombreux : S.N.P. Mohamed Ben Mohamed...

    Après l'indépendance la Mairie de Rouiba a été géré par le comité de gestion pendant 03 ans ce n'est qu'en 1966 qu'à eu lieu les premières éléctions éléctorale.
    Le siège de la mairie a connu plusieurs modifications et la première extention a eu lieu en 1970 en commençant par ce qui était le terrain de boulodrome qui a été transformé en des bureaux pour l'état civil.
    D'autres bureaux supplémentaires ont été crées en forme de petite annexe dans l'ex: Ecole des garçons "Ecole Mohamed KEBIR" dont les classe transformées en locaux pour: Bureau des comités des fêtes, Bureaux des services  techniques, bureau des enfants de Chouhada, Bureau des enfants des Moudjahidines.
    Suites aux dégâts causés par le dernier séisme les bureaux de la mairie ont été transférés à l'encien siège de la Daira qui se trouvait à l'entrée de la ville exactement dans l'ancienne villa Mira et l'entreprise Ballester. Seul le bureau du sport qui resta dans le même lieu et place dans le siège de la mairie.
    Quant aux reste des bureaux ces derniers ont été transformés en grande salle d' exposition-vente de livres et objets artisanaux de toutes les wilayates. Cette salle qui abrite l'exposition s'étand sur une superficie de 200 m2 environ.
    La dernière exposition a été organisé par une  maison d'édition du livre. Cette exposition qui vient indéniablement combler un vide tant ressenti par les amateurs et les adeptes de la culture livresque, propose à la vente des livres très éclectiques, allant de l’histoire à la culture générale, en passant par l’art culinaire, le livre religieux et scolaire et celui pour enfants.

    Avec l'autorisation de Mr Pierre CARATERO






    Création de ma ville

    30/05/2009 11:15

    Création de ma ville


    I/-Création de Rouiba
    C'est sous Napoléon III, le 11 Août 1853, que le conseil du gouvernement se penche sur un projet de fondation d'un centre sur la route Alger - Dellys à l'embranchement du chemin d'Aïn-Taya, ayant pour vocation un lieu de gite et de culture.
    Le 30 Septembre de la même année est publié le décret suivant :
    Napoléon
    Par la grâce de Dieu et la volonté nationale
    Empereur des Français à tous, présents et à venir : Salut
    Vu les ordonnances des 21 Juillet 1845, 5 Juin et 1er Septembre 1847
    Sur le rapport de notre ministre secrétaire d'état au département de la guerre :
    Avons décrété et décrétons ce qui suit
    ART. 1 : Il est créé dans l'arrondissement d'Alger sur la route Alger - Dellys un centre de population de 22 feux qui prendra pour nom ; ROUÏBA.
    ART. 2   : Le territoire agricole affecté à ce nouveau centre, ce conformément au plan ci annexé, est de 585 ha 85 a 20 ca.
    Fait au palais des Tuileries, Le 30 Septembre 1853 Signé NAPOLÉON

    ROUÏBA VILLAGE MAHONNAIS
    Notre Rouïba venait d'être porté sur les fonts baptismaux. Mais que signifie Rouïba? Ce qui est inconstestable c'est que son origine provient de l'arabe ou du berbère. Quant à sa traduction les avis divergent.
    Je me contenterai, sans prendre position, de vous donner 4 traductions possibles. La première pourrait être, comme les autres d'ailleurs, une traduction déformée de «petite forêt» bien que personne n'en ait point connu. La seconde «la descente» ce qui s'expli¬querait par la situation géographique de Rouïba. La troisième serait «petit ruisseau» bien que Rouïba ne fut traversé par aucun d'entre eux. Quant à la quatrième, le nom du village viendrait de «broussailles». Pour ce qui est de la broussaille, nos ancêtres en ont trouvé et en ont défriché, il n'y a pas l'ombre d'un doute à ce sujet.
    Ce n'est que début Mars 1854 qu'eut lieu l'adjudication des 22 concessions qui ne furent remises officiellement à leurs propriétaires qu'à la fin de ce mois, avant la saison des pluies. Chaque adjudicataire dût débourser 1500 francs et prouver q'il disposait d'une somme équivalente pour réaliser les différents travaux de mise en valeur des terres ainsi que la construction de son habitation. Pour prévenir d'éventuelles spécula¬tions, le contrat prévoyait que le colon devait cultiver, pendant 3 ans, ses terres avant de pouvoir les revendre. Chaque concession se divisait comme suit :
    1er lot :
    Cinq hectares de bonne terre située dans la partie orientale du village qui avait été préalablement défrichée par l'armée.
    2ème lot:
    Huit hectares et demi dans la partie occidentale de la commune à défricher.
    3ème lot:
    Cinquante ares dans la partie actuelle de Rouïba aplanis et défrichés également par
    l'armée et réservés à l'habitation. Soit au total une superficie de 14 hectares par adjudicataire à laquelle s'ajoutait un communal de 70 hectares pour le bétail.
    Qui furent ces 22 familles de pionniers qui, à la sueur de leur front et au péril de leur vie, guettés autant par la maladie que par les brigands, fondèrent Rouïba? Aucun document officiel ne les désigne nominativement, si ce n'est que l'un d'entre eux qui précise que presque tous les colons étaient mahonnais et avaient été choisis suite aux très bons résultats obtenus par leurs compatriotes de Fort de l'eau.
    C'est les 6 et 7 Mars 1854 que les premiers adjudicataires vinrent prendre possession de leur concession avec engagement de bâtir leur maison dès le mois suivant pour qu'à l'automne cultures et ensemencement puissent être réalisés. Fin 1854, 12 maisons étaient construites et 11 familles y habitaient, soit 42 personnes.
    Au 31 Décembre 1855, 95 hectares avaient été défrichés et 49 ensemencés. Ce n'est qu'en 1856, que le village fut achevé. Les 22 familles étaient installées, 224 hectares étaient en rapport et 2600 arbres avaient été plantés. Chaque maison avait son puit d'une profondeur de 10 à 12 mètres. Avant de les creuser, on avait recours aux sourciers qui, à l'aide d'une montre de gousset ou d'une baguette d'olivier, détectaient les nappes phréatiques. Cette méthode de recherche s'appliqua de tous temps. J'ai le souvenir du «Petit Mora», employé des chemins de fer algériens, qui mettait ses talents ou plutôt ses dons à la disposition de ses amis désireux de construire leur puit.
    En 3 années, 70 % des concessions étaient cultivées. Avec les moyens dont disposaient les colons de l'époque, le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils ne s'étaient pas tournés les pouces. Le village était toujours inclus dans la commune de la Rassauta qui regroupait Rouïba, Aïn-Taya, Matifou ou Aïn-Kahla (la source noire), Aïn-Béïda ou Suffren (la source blanche) et Fort de l'eau qui devint commune de plein exercice le 2 Juin 1851. Rouïba devint commune de plein exercice le 1er Janvier 1862. Voici le décret :
    ART. 1 : Sont érigées en communes de plein exercice dans le département d'Alger, les
    sections de communes ou centres dont les noms suivent : ROUÏBA.
    ART. 2 : Les limites de cette nouvelle commune sont fixées et notifiées comme suit : «La commune de Rouïba outre son chef-lieu comprend les hameaux d'Aïn-Béïda, Matifou et le village d'Aïn-Taya ce dernier formant section de commune.
    La commune est délimitée comme suit : Au Nord, la mer depuis l'embouchure de l'oued Hamiz jusqu'à l'embouchure de l'oued Réghaïa
    A l'Est, l'oued Réghaïa, l'oued El-Biar et la limite Ouest de Haouch Ben Aïda jusqu'à l'ancienne
    route de Dellys.
    Au Sud, la route Alger - Dellys jusqu'à l'oued Hamîz.
    A l'Ouest, l'oued Hamiz»
    ART. 3 : L'organisation du conseil municipal est ainsi fixée : le nombre de conseillers municipaux est fixé à 10, maire compris.
    ART. 4 : Le présent décret ne recevra son effet qu'à partir du 1er Janvier 1862.
    ART. 5 : Des arrêtés du préfet du département d'Alger fixeront les détails d'exécution pour les partages à faire entre les communes anciennes et les sections de communes érigées en communes nouvelles
    ART. 6 : Notre ministre, secrétaire d'état au département de la guerre, et le gouverneur général de l'Algérie sont chargés du présent décret
    Camp de Châlons le 22 Août 1861 Signé : NAPOLÉON
    Le secrétaire d'état au département de la guerre RANDON.
    Cependant entre le 30 Août 1864 et le 14 Septembre 1870, les limites de la commune devaient se modifier au Sud comme au Nord. Le 30 Août 1864, certains habitants du Fondouk présentaient une requête à leur conseil municipal demandant à être rattachés à la commune de Rouïba pour raison d'éloignement et de difficultés de communications surtout en hiver. La partie du territoire concerné s'étendait au Nord du chemin qui allait de l'oued Hamiz à l'oued Réghaïa. Le conseil municipal du Fondouk, à l'unanimité, rejeta cette suggestion. Les choses n'en restèrent pas là. Une commission comprenant une délégation des signataires de la pétition ainsi que des habitants de Rouïba se réunissait et adressait au Préfet les résultats de leur enquête. Le 27 Février 1867, le préfet accordait les modifications des limites de la commune
    Au Sud avec la commune d'Aïn-Taya ce fut tout autre chose. Le 14 Septembre 1870, Aïn-Taya ayant été décrété commune de plein exercice, les pourparlers entre les communes de Rouïba et Aïn-Taya concernant le litige sur la frontière des 2 communes valait au préfet le rapport suivant :
    "Commune Rouïba - section Aïn-Taya avec les hameaux d'Aïn-Béïda et Matifou -Affaire difficile".
    Le 22 Août 1872 en mairie de Rouïba une commission composée d'une délégation des 2 communes avec à leur tête les maires de Rouïba et d'Aïn-Taya ainsi que monsieur Loucias, géomètre, étudia les plans et s'informa auprès des indigènes. Il fut décidé que la limite des 2 communes serait le chemin d'Alger à Dellys, ce chemin partant de l'oued El Biar à l'Est, se dirigeant à l'Ouest en suivant la crête de la colline jusqu'à la ferme Ben-Daly Bey puis en ligne droite jusqu'à l'oued Boréah.
    Le litige aurait été réglé le 28 Août, les participants de la commission s'étant mis d'accord pour tirer en ligne droite la frontière des 2 communes avec abandon réciproque des parcelles. Mais le maire d'Aïn-Taya prétextant qu'il n'y avait pas eu d'informations transmises au préfet rejeta catégoriquement le compromis. Le préfet trancha en faveur de la commission. Ainsi fut enfin réglé le litige vieux de 25 ans.
    Après l'indépendance les limites de Rouiba ont été modifiées  comme suit:
    La commune de Rouïba outre son chef-lieu comprend les hameaux suivants:
    Haouch R'mel récement rajouté à la commune de Rouiba, Benchoubane, Haouch Rouiba, Sbaat, El Merdja, Mouadsa (Nom de la grande famille "les Mouaci", et Hai Enasr (Hamiz- Bagur).
    La commune est délimitée comme suit : Au Nord, Jusqu'au l'embranchement de la route Rouiba –Dergana à la la limite de l'haouche Bendali Bey "Laiterie Betouche actuellement"
    A l'Est, jusqu'à la limite Ouest de Haouch Ben Aïda jusqu'à l'autoroute "l'ancienne route de Dellys".
    Au Sud, le hameau Chebacheb qui est partagé avec la commune de Khemis El Khachena ex: Le Fondouk
    A l'Ouest, le hameau de Hai Nasr et l'oued Hamiz.»

    Avec l'autorisation de Mr Pierre CARATERO






    Vidéo rouiba

    29/05/2009 11:24

    Vidéo rouiba


    Voici un lien de mon blog vidéo de Rouiba et autres, venez rendre visite si ça vous plait . Un simple clic sur le lien  vous conduiras sur le blog.

    http://pierreali.skyrock.com/

    Je vous souhaite  toutes et tous une bonne visite



    Commentaire de izem (30/12/2011 17:11) :

    Le wali d'Alger Le wali d’Alger vient d’adresser un «blâme» au P/APC de Rouiba, Marzouk Lakrouz (d’obédience FFS). Raison: l’administration reproche à l’élu FFS d’avoir reçu, au début du mois d’octobre dernier, le président de l’Association de sauvegarde des cimetières français en Algérie, maître Jacques Cavana, et ce, «sans avoir avisé au préalable la tutelle». Mais l’argument avancé, estime le FFS, «ne tient pas la route». Aussi, le premier secrétaire du parti, Ali Laskri, a dénoncé cette décision lors de son passage hier sur les ondes de la Chaîne I de la Radio nationale. «Je n’ai pas reçu une personnalité officielle. Jacques Cavana est un personnage ordinaire. Je l’ai reçu et je lui ai fait visiter le cimetière de Rouiba. La décision de la wilaya d’Alger est disproportionnée. Ce blâme n’a aucune valeur juridique. Elle vise seulement à m’intimider», a déclaré Marzouk Lakrouz que nous avons contacté hier. Rappelant qu’il a déjà fait l’objet de plusieurs tentatives d’intimidation, le maire de Rouiba se dit «déterminé à aller jusqu’au bout de son mandat». «Je sais que je dérange cette tutelle, mais je continuerai à gérer la commune comme je le fais actuellement : dans la transparence la plus totale», ajoute-t-il. M. M





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